9 oct. 2010
Son nom restera certainement gravé dans le livre Guinness des records comme celui de l’homme qui aura contracté le plus de mariages dans sa vie. Acentus Akuku aimait tellement les femmes qu’on la surnommé «Danger».
Non pas qu’il les maltraitait, mais il n’en avait pas assez. Au terme de sa vie de… 94 ans, le 6 octobre 2010, il s’était marié 130 fois et a donné naissance à 300 enfants! Et, il a divorcé 85 fois, pour la curieuse raison qu’il ne supportait pas «l’infidélité». Rien que ça!
En effet, si Acentus voulait toujours plus de femmes, il ne tolérait pas que ses femmes le trompent. Aussi curieux que cela puisse paraître, il était prêt à tout pour honorer ses femmes. C’est un polygame hors-pair qui était convaincu qu’il avait le droit de s’offrir autant d’épouses, au nom de la sacro-sainte tradition des Luo, une tribu kenyane située près du lac Victoria. Dans ce pays où la polygamie était officiellement interdite, on pouvait fermer les yeux sur ce qui était permis par les coutumes. Et «Danger» en a bien profité. Il en a même abusé au point de passer pour un être exceptionnel.
Il laisse ainsi derrière lui 300 rejetons. Des enfants pour qui il a néanmoins pris le soin de créer un petit empire fondé sur la gestion des taxis qui font le transport dans son village. Il s’est marié pour la première fois en 1939 et pour la dernière fois en 1997 avec Joséphine, une jeune fille âgée à l’époque de 18 ans, alors que son vieillard d’époux en avait 81. En vivant au-delà de l’espérance de vie, estimée à seulement 54 ans pour ses compatriotes kenyans, Acentus ne donne-t-il pas la preuve que la polygamie ne conduit pas nécessairement à un affaiblissement physique?
Il laisse ainsi derrière lui 300 rejetons. Des enfants pour qui il a néanmoins pris le soin de créer un petit empire fondé sur la gestion des taxis qui font le transport dans son village. Il s’est marié pour la première fois en 1939 et pour la dernière fois en 1997 avec Joséphine, une jeune fille âgée à l’époque de 18 ans, alors que son vieillard d’époux en avait 81. En vivant au-delà de l’espérance de vie, estimée à seulement 54 ans pour ses compatriotes kenyans, Acentus ne donne-t-il pas la preuve que la polygamie ne conduit pas nécessairement à un affaiblissement physique?
