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Posted by : Palabre-Infos 10 janv. 2012

Obsèques des deux victimes de la délégation togolaise.
REUTERS/Noel Kokou Tadegnon
Le 8 janvier 2010, le bus de l’équipe togolaise de football était mitraillé par des autonomistes, à Cabinda, une enclave du territoire angolais, où devait se dérouler des matches de la CAN 2010. Bilan : au moins deux morts, des blessés et un profond traumatisme chez les Éperviers et au sein du football togolais. Rappel des faits deux ans après le drame.


Le 8 janvier 2010, l’équipe nationale togolaise de football effectue un banal parcours en bus entre le Congo-Brazzaville et l’enclave angolaise de Cabinda. Mais politique et violence viennent assombrir les prémisses de la Coupe d’Afrique des nations 2010.

Sitôt la frontière franchie, le véhicule est mitraillé à l’arme lourde par des militants autonomistes du Flec, le Front de libération de l'Etat du Cabinda. Joueurs et encadrants se jettent au sol mais, déjà, le chauffeur angolais est atteint (1). Puis, c’est au tour d’Abalo Amélété, l’entraîneur adjoint, et de Stanislas Ocloo, le chef de presse de la délégation, de périr sous les balles. Les joueurs, choqués par trente minutes de mitraillage, ne sont pas épargnés. Le défenseur Serge Akakpo est sérieusement touché et le gardien de but Kodjovi Obilale est grièvement blessé. Sur place, le chaos et la confusion règnent.

La suite sur le site de rfi


Source rfi.fr

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