12 oct. 2012
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| François Hollande |
Dans son entretien accordé aux médias français très écoutés sur le continent africain à savoir, RFI, TW5 et France24, le Président Hollande, affirme vouloir traité que, avec les pays respectant les valeurs démocratiques. A quelques nuances prés, la tenue de ce 14è sommet de la francophonie dans un pays pas très démocratique, en République "Démocratique" du Congo, pose le problème puisque le président français y assiste. De plus tous les pays occidentaux déclarent toujours ne vouloir traiter que, avec les pays jouant le jeu démocratique. Sauf que les déclarations ne sont pas toujours suivies des faits. Dans ce contexte, la Guinée n'est pas inclue dans l'agenda des dirigeants français.
A travers cette volonté du président français, on peut bien comprendre pourquoi les récents déplacements des ministres français Laurent Fabius (Affaires étrangères) au Sénégal et Pierre Mouscovicci (Économie) en Côte d'ivoire non pas concerné la Guinée. Et le déplacement ce Jeudi de François Hollande au Sénégal confirme, contrairement à ce que soutien Alpha Condé, la Guinée n'est toujours pas de retour dans le concert des nations respectables et fréquentables.
La Guinée qui, pourtant a été le premier bien avant la Côte d'ivoire a organisé des élections présidentielles après une crise politique Mais le pragmatisme et le volontarisme des ivoiriens à vouloir aller de l'avant font que ce pays en moins d'une année a mis en place toutes les institutions nécessaires pour la normalisation du pays. Pour sa part, Alpha Condé traine toujours les pieds à organiser les élections législatives. Il semblerait même que le mini remaniement récent du gouvernement est une conséquence de l'ignorance de son pays par ses amis socialistes français. Ainsi, pense t-il qu'en virant les généraux "officiellement" du pouvoir serait un signal de normalisation de son régime. 2 ans passé à la tête du pays et toujours pas d'élection, Alpha Condé ne se soucie guère de l'Etat de son pays, la Guinée, mais est obsédé par une reconnaissance internationale qu'il ne mérite pas au vue des résultats actuels de son gouvernement. Malgré ces nombreux et coûteux déplacements internationaux du président Condé, rien n'y fait aucun homme ou femme politique d'une grande importance n'est venue rendre visite au président guinéens.
Par contre le pays fait régulièrement la une des journaux internationaux à cause des violations des droits et libertés des guinéens, la violence policière et la corruption à grande échelle.
Il serait tant que Alpha Condé se mette dans les habits du président et non de l'opposant pour sortir le pays de la crise actuelle.
Le temps presse Monsieur le président.
La Guinée qui, pourtant a été le premier bien avant la Côte d'ivoire a organisé des élections présidentielles après une crise politique Mais le pragmatisme et le volontarisme des ivoiriens à vouloir aller de l'avant font que ce pays en moins d'une année a mis en place toutes les institutions nécessaires pour la normalisation du pays. Pour sa part, Alpha Condé traine toujours les pieds à organiser les élections législatives. Il semblerait même que le mini remaniement récent du gouvernement est une conséquence de l'ignorance de son pays par ses amis socialistes français. Ainsi, pense t-il qu'en virant les généraux "officiellement" du pouvoir serait un signal de normalisation de son régime. 2 ans passé à la tête du pays et toujours pas d'élection, Alpha Condé ne se soucie guère de l'Etat de son pays, la Guinée, mais est obsédé par une reconnaissance internationale qu'il ne mérite pas au vue des résultats actuels de son gouvernement. Malgré ces nombreux et coûteux déplacements internationaux du président Condé, rien n'y fait aucun homme ou femme politique d'une grande importance n'est venue rendre visite au président guinéens.
Par contre le pays fait régulièrement la une des journaux internationaux à cause des violations des droits et libertés des guinéens, la violence policière et la corruption à grande échelle.
Il serait tant que Alpha Condé se mette dans les habits du président et non de l'opposant pour sortir le pays de la crise actuelle.
Le temps presse Monsieur le président.
